La Suède continue sa démonstration
+7 face à l’Espagne, +8 face à la Russie, la Suède est en train de se transformer en épouvantail dans la poule des Bleues. Voir la Russie si démunie et sans solution défensive face à l’artillerie suédoise interpelle quand même sacrément. La faute à Carin Stromberg ! Cette demi-centre de 28 ans qui est dans l groupe depuis 2015 mais qui n’a jamais fait autant parler d’elle ! Il est vrai qu’avant elle avait une certaine Bella Gulden devant elle et qu’elle ramassait les minutes laissées en route par l’ex brestoise. En tout cas dans ce début de compétition elle porte l’attaque suédoise sur ses épaules, faisant les questions et les réponse avec plus de 5 buts par match et 7 passes décisives. Mais pour que les passes soient décisives, il faut qu’autour d’elle, les autres mettent leur tirs au fond. Mais dans le domaine, les Jamina Roberts, Linn Blohm ou Melissa Petren remplissent parfaitement leur partie du boulot. Face à tout cela la Russie n’a pas existé, craquant d’entrée de match et courant derrière le score toute la seconde période. Personne pour sauver la patrie russe, Ana Vyakhyreva est presque devenue normale, Darya Dmtrieva n’est plus en phase avec son shoot, etc… Après le nul face au Brésil, la Russie prend un gros éclat face à la Suède, autant dire que le rendez-vous de la 3° journée avec les Hongroises, elles aussi en détresse de point, sera capital !
Méfiance, les Brésiliennes sont là
Un match nul face à la Russie qui aurait pu se transformer en victoire le premier jour. Une victoire qui ne se conteste pas face à la Hongrie qui a toujours couru derrière le score pour son 2° match ! Méfiance, les Brésiliennes semblent dans la course à la qualification et peut-être un peu plus si affinités. Face aux Russes, Bruna de Paula et Alexandra Nascimento avaient brillé. Pour l’épisode hongrois, cela a été au tour de Samara Viera, l’arrière gauche de Ljubljana et le duo « d’inusables » Eduarda Amorim et Ana Paula Belo (Photo ci-dessus) de briller de mille feux, mettant la Hongrie dans le rouge. Avec toujours les mêmes qualités d’engagement et de combat, les mêmes défaut, du jeu par moment brouillon et des faiblesse sur le shoot de loin, les Hongroises n’ont pas fait mieux que face aux Françaises, et clairement, la victoire initiale de la France est peut-être à mettre un peu en perspective de ce match dominé par le Brésil assez tranquillement.