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Aymeric Zaepfel, incarnation du nouveau projet ivryen

LMSL

vendredi 19 mars 2021 - © Yves Michel

 7 min 44 de lecture

Il vient à peine de signer son 1er contrat pro. Arrivé quasiment par hasard au handball, Aymeric Zaepfel a débarqué la saison passée de son Alsace natale pour s'intégrer très rapidement dans l'environnement de l'US Ivry. Le jeune arrière gauche est à l'image du nouveau projet du club. Réfléchi et ambitieux.

Aymeric Zaepfel sera éternellement reconnaissant envers son père Joël et sa mère Régina. C'est un peu grâce à eux qu'il vient de signer son 1er contrat pro en faveur de l'US Ivry. Comme quoi les vocations peuvent tenir à pas grand chose. « Je ne suis issu ni d'une famille de handballeurs, ni d'une famille de grands sportifs, précise l'intéressé. A l'école, vers 8-9 ans, nous avions l'habitude de faire des petits tournois multi-sports et le hand était au programme. Je suis même allé faire un essai au club de Hochfelden, près de mon domicile mais je n'ai pas accroché, je ne voulais vraiment pas y revenir. Mes parents n'ont pas lâché l'affaire et ont insisté. Ils ont eu raison et je n'ai plus voulu quitter la salle (rires).»  Le jeune Alsacien se pique vraiment au jeu et suis un cheminement plutôt classique. Enfin pas tout à fait car les techniciens du coin détectent de réelles qualités chez l'adolescent. Sélection du Bas-Rhin, d'Alsace et avant de terminer son parcours chez les moins de 18 ans, il atterrit à Sélestat. C'est d'ailleurs à cette époque qu'il croisera la route d'un certain Arthur Lenne, son aîné de... cinq mois. « On est devenu très potes. Avec Arthur, on a beaucoup d'affinités, c'est un peu mon frère jumeau. En moins de 18 à Sélestat, c'est là que j'ai senti que j'avais trouvé ma voie.» C'est encore le temps de l'insouciance mais aussi du 1er souvenir marquant dans une carrière naissante. Le titre national en U18 en juin 2019 au terme d'une mémorable finale contre Dijon. Aymeric fera quelques apparitions en équipe 1 du SAHB qui lui proposera d'intégrer son centre de formation mais Ivry va avoir le dernier mot. « Emmanuel Dott (le directeur de la formation à l'USI) m'a sorti de mon confort alsacien lors de ma dernière année de pôle (sourires). Là aussi, mes parents ont été consultés et j'ai pris le temps de réfléchir. Ce n'était pas évident. Je quittais mon cadre habituel, je m'éloignais de ma famille, de mes amis mais le challenge était excitant.» D'autant qu'à Ivry, lorsqu'un jeune joueur montre de réelles dispositions, l'entraîneur de l'équipe 1 (Sébastien Quintallet) ne tarde pas à l'intégrer aux pros. Sans se précipiter, le banc est le meilleur apprentissage. « Je voulais forcément entrer sur le terrain, jétais impatient mais le fait d'être au contact des pros, de me nourrir de tout ce qu'ils pouvaient m'apporter a été très bénéfique. On ne s'en rend pas compte sur le coup mais ça génère de l'expérience.» Et c'est cette expérience que le Val-de-Marnais voulait au moins cette année mettre au service de l'équipe de France des U21, déjà sevrée d'un championnat d'Europe, privée de Tiby et qui au final, ne verra même pas la Hongrie pour le Mondial. Une génération 2000-2001 sacrifiée sur l'autel de la pandémie. « C'est hyper frustrant parce qu'ensemble, on voulait vraiment faire quelque chose. Au fil des mois, quand on a su qu'on n'aurait rien derrière, on l'a très mal vécu. Le moindre mal est de se dire qu'on va pouvoir se consacrer à 100% à la reprise avec le club puisqu'on ne ratera pas le début de la prépa estivale..» Le gamin de Minversheim a fait du chemin depuis ce qui aurait pu être un rendez-vous raté. Le hand chevillé au corps, il a désormais des projets plein la tête et une lourde responsabilité à assumer. « Passer pro n'est pas un aboutissement mais plutôt une étape. Une nouvelle porte s'ouvre et derrière je vais devoir prouver que je n'ai pas volé ma place. Je suis très exigeant avec moi-même donc j'ai pas mal de boulot avant d'arriver au plus haut niveau..» Et dire que si maman et papa n'avaient pas insisté...


                                                 Mate Sunjic, l'expérience au service du groupe ivryen

Aymeric Zaepfel incarne le renouveau d'une fusée ivryenne à étages multiples. Le projet a pour horizon 2024. Tout semble calculé, analysé et surtout maîtrisé. Quel que soit le sort que réserve le championnat cette année, la feuille de route est tracée. «Ivry veut à nouveau compter dans le paysage, idéalise Pascal Léandri. La base, c'est la construction, le partage autour de l'équipe qu'on est en train de construire. Il nous faut sans cesse innover, être ambitieux avec nos jeunes joueurs mais aussi avec des apports extérieurs. On ne doit pas non plus occulter la présence d'éléments expérimentés. Mate Sunjic en est le meilleur exemple. » Le décor est planté mais le club champion de France pour la dernière fois en 2007 n'a plus les mêmes moyens. Le hand en banlieue parisienne s'est appauvri et les trois entités qui le représentent au sein de l'élite, végètent en queue de classement. La formation ADN du club, tendrait désormais à répondre à une certaine nécessité économique. «Ce serait réducteur de ne voir que cet aspect-là, se défend le directeur général du club. On aurait un budget 2 fois plus important, on continuerait à fabriquer à la maison. Quand un joueur sort du centre, cela valorise le travail accompli, cela fait rayonner un territoire, cela répond aussi à une certaine responsabilité sociale. Antonin Mohamed, Jean Emmanuel Kouassi ou Lucas Petit sont des gamins de la ville d'Ivry.» Ivry résiste comme il peut aux aléas du temps et à cette pandémie qui s'installe et qui ne semble plus vouloir libérer les esprits. Les résultats sont en dents de scie et l'avenir loin d'être scellé au plus haut niveau. «On vit une saison particulière où en fonction des rencontres reportées, il existe des disparités et une certaine inéquité. Quand tu joues un Européen qui a accumulé les matches, on remarque qu'il est plus vulnérable. Je pense qu'il vaudrait mieux laisser de côté, l'aspect sportif. Nous demandons cela non pas par opportunité mais pour trouver une solution de façon à ce que tout le monde s'en sorte. Ce ne sont pas les clubs qui sont à l'origine de la crise sanitaire. On nous permet de vivre encore sous perfusions, à quoi va ressembler la suite ?» Un championnat qui a du mal à retrouver de la visibilité, des équipes fatiguées physiquement et nerveusement mais un recrutement comme à Ivry, qu'il faudra assurer et surtout assumer.



Un recrutement 2021-2022 très... éclectique 

Le Suédois Linus Persson (ARD) sur le départ, Théophile Causse (ALD), Adama Sako (ARG) et Walid Badi (ALG) non prolongés, l'USI s'est mise en quête de les remplacer. En espérant avoir trouvé des profils susceptibles de faire avancer l'équipe. 

Virgile Carrière, (notre photo ci-dessus) tiens, un Français dans le melting-pot qui illustre le recrutement ivryen ! Agé de 24 ans, l'ailier gauche est un pur produit du centre de formation dijonnais, doté d'un physique à toute épreuve. "Atout maître comme nous l'a confié Ulrich Chaduteaud son coach en Bourgogne: Increvable finisseur, il peut être aussi utilisé sur la base arrière car il est grand (1.88) et il saute. Il doit gagner en régularité mais signer en D1 est une évolution logique pour lui."

Vukasin Vorkapic, espoir serbe de 23 ans. Ailier droit dans le groupe qui en janvier dernier a battu puis partagé les points avec l'équipe de France dans le cadre des qualifications à l'Euro 2022. Il termine sa 4ème saison dans le mythique club serbe du RK Metaloplastika d'où jadis sortaient les éléments cadres de l'armada de l'ex Yougoslavie. A 21 ans à peine, il a été sélectionné au Mondial 2019 où il a mis à profit d'énormes qualités physiques. 

Milos Bozovic, Monténégrin de 26 ans, arrière gauche sensé d'apporter un peu plus de densité, un peu plus de puissance. Avant d'arriver dans le Val-de-Marne, il sera passé par plusieurs clubs dont Valladolid, Gorenje, Zagreb et Tatabanya où il évolue encore. 

Wael Al-Shatti. Un Tunisien quasi inconnu dans son pays puisqu'il a fait toute sa carrière dans le Golfe avec notamment un passage au Qatar dans le club d'Al Duhail. Cette saison, cet arrière droit s'est illustré en Arabie Saoudite au Mudhar Club. Un peu exotique... on demande à voir. "On s'est beaucoup renseigné, assure Pascal Léandri. Il a de la percussion, un bon tir de loin. La seule inconnue, c'est sa faculté d'adaptation à notre environnement. Il sera un bon complément avec deux autres gauchers de la base arrière, Ruben Rio et Louis Joseph du centre de formation.

Trois noms viendront étoffer le groupe pro. Tous issus du centre de formation de l'USI. Aymeric Zaepfel donc mais aussi deux gardiens. David Bernard (qui vient d'avoir 21 ans) et Jean Emmanuel Kouassi (22 ans). Ce dernier afin de s'aguerrir et ne pas voir Mate Sunjic, à juste titre absorber une grande partie du temps de jeu, sera prêté. Plusieurs clubs sont intéressés, la négociation est en cours. "Quand il reviendra au club, espère Pascal Léandri, il ne sera plus le même. Il aura acquis un autre volume." 

 

Aymeric Zaepfel, incarnation du nouveau projet ivryen 

LMSL

vendredi 19 mars 2021 - © Yves Michel

 7 min 44 de lecture

Il vient à peine de signer son 1er contrat pro. Arrivé quasiment par hasard au handball, Aymeric Zaepfel a débarqué la saison passée de son Alsace natale pour s'intégrer très rapidement dans l'environnement de l'US Ivry. Le jeune arrière gauche est à l'image du nouveau projet du club. Réfléchi et ambitieux.

Aymeric Zaepfel sera éternellement reconnaissant envers son père Joël et sa mère Régina. C'est un peu grâce à eux qu'il vient de signer son 1er contrat pro en faveur de l'US Ivry. Comme quoi les vocations peuvent tenir à pas grand chose. « Je ne suis issu ni d'une famille de handballeurs, ni d'une famille de grands sportifs, précise l'intéressé. A l'école, vers 8-9 ans, nous avions l'habitude de faire des petits tournois multi-sports et le hand était au programme. Je suis même allé faire un essai au club de Hochfelden, près de mon domicile mais je n'ai pas accroché, je ne voulais vraiment pas y revenir. Mes parents n'ont pas lâché l'affaire et ont insisté. Ils ont eu raison et je n'ai plus voulu quitter la salle (rires).»  Le jeune Alsacien se pique vraiment au jeu et suis un cheminement plutôt classique. Enfin pas tout à fait car les techniciens du coin détectent de réelles qualités chez l'adolescent. Sélection du Bas-Rhin, d'Alsace et avant de terminer son parcours chez les moins de 18 ans, il atterrit à Sélestat. C'est d'ailleurs à cette époque qu'il croisera la route d'un certain Arthur Lenne, son aîné de... cinq mois. « On est devenu très potes. Avec Arthur, on a beaucoup d'affinités, c'est un peu mon frère jumeau. En moins de 18 à Sélestat, c'est là que j'ai senti que j'avais trouvé ma voie.» C'est encore le temps de l'insouciance mais aussi du 1er souvenir marquant dans une carrière naissante. Le titre national en U18 en juin 2019 au terme d'une mémorable finale contre Dijon. Aymeric fera quelques apparitions en équipe 1 du SAHB qui lui proposera d'intégrer son centre de formation mais Ivry va avoir le dernier mot. « Emmanuel Dott (le directeur de la formation à l'USI) m'a sorti de mon confort alsacien lors de ma dernière année de pôle (sourires). Là aussi, mes parents ont été consultés et j'ai pris le temps de réfléchir. Ce n'était pas évident. Je quittais mon cadre habituel, je m'éloignais de ma famille, de mes amis mais le challenge était excitant.» D'autant qu'à Ivry, lorsqu'un jeune joueur montre de réelles dispositions, l'entraîneur de l'équipe 1 (Sébastien Quintallet) ne tarde pas à l'intégrer aux pros. Sans se précipiter, le banc est le meilleur apprentissage. « Je voulais forcément entrer sur le terrain, jétais impatient mais le fait d'être au contact des pros, de me nourrir de tout ce qu'ils pouvaient m'apporter a été très bénéfique. On ne s'en rend pas compte sur le coup mais ça génère de l'expérience.» Et c'est cette expérience que le Val-de-Marnais voulait au moins cette année mettre au service de l'équipe de France des U21, déjà sevrée d'un championnat d'Europe, privée de Tiby et qui au final, ne verra même pas la Hongrie pour le Mondial. Une génération 2000-2001 sacrifiée sur l'autel de la pandémie. « C'est hyper frustrant parce qu'ensemble, on voulait vraiment faire quelque chose. Au fil des mois, quand on a su qu'on n'aurait rien derrière, on l'a très mal vécu. Le moindre mal est de se dire qu'on va pouvoir se consacrer à 100% à la reprise avec le club puisqu'on ne ratera pas le début de la prépa estivale..» Le gamin de Minversheim a fait du chemin depuis ce qui aurait pu être un rendez-vous raté. Le hand chevillé au corps, il a désormais des projets plein la tête et une lourde responsabilité à assumer. « Passer pro n'est pas un aboutissement mais plutôt une étape. Une nouvelle porte s'ouvre et derrière je vais devoir prouver que je n'ai pas volé ma place. Je suis très exigeant avec moi-même donc j'ai pas mal de boulot avant d'arriver au plus haut niveau..» Et dire que si maman et papa n'avaient pas insisté...


                                                 Mate Sunjic, l'expérience au service du groupe ivryen

Aymeric Zaepfel incarne le renouveau d'une fusée ivryenne à étages multiples. Le projet a pour horizon 2024. Tout semble calculé, analysé et surtout maîtrisé. Quel que soit le sort que réserve le championnat cette année, la feuille de route est tracée. «Ivry veut à nouveau compter dans le paysage, idéalise Pascal Léandri. La base, c'est la construction, le partage autour de l'équipe qu'on est en train de construire. Il nous faut sans cesse innover, être ambitieux avec nos jeunes joueurs mais aussi avec des apports extérieurs. On ne doit pas non plus occulter la présence d'éléments expérimentés. Mate Sunjic en est le meilleur exemple. » Le décor est planté mais le club champion de France pour la dernière fois en 2007 n'a plus les mêmes moyens. Le hand en banlieue parisienne s'est appauvri et les trois entités qui le représentent au sein de l'élite, végètent en queue de classement. La formation ADN du club, tendrait désormais à répondre à une certaine nécessité économique. «Ce serait réducteur de ne voir que cet aspect-là, se défend le directeur général du club. On aurait un budget 2 fois plus important, on continuerait à fabriquer à la maison. Quand un joueur sort du centre, cela valorise le travail accompli, cela fait rayonner un territoire, cela répond aussi à une certaine responsabilité sociale. Antonin Mohamed, Jean Emmanuel Kouassi ou Lucas Petit sont des gamins de la ville d'Ivry.» Ivry résiste comme il peut aux aléas du temps et à cette pandémie qui s'installe et qui ne semble plus vouloir libérer les esprits. Les résultats sont en dents de scie et l'avenir loin d'être scellé au plus haut niveau. «On vit une saison particulière où en fonction des rencontres reportées, il existe des disparités et une certaine inéquité. Quand tu joues un Européen qui a accumulé les matches, on remarque qu'il est plus vulnérable. Je pense qu'il vaudrait mieux laisser de côté, l'aspect sportif. Nous demandons cela non pas par opportunité mais pour trouver une solution de façon à ce que tout le monde s'en sorte. Ce ne sont pas les clubs qui sont à l'origine de la crise sanitaire. On nous permet de vivre encore sous perfusions, à quoi va ressembler la suite ?» Un championnat qui a du mal à retrouver de la visibilité, des équipes fatiguées physiquement et nerveusement mais un recrutement comme à Ivry, qu'il faudra assurer et surtout assumer.



Un recrutement 2021-2022 très... éclectique 

Le Suédois Linus Persson (ARD) sur le départ, Théophile Causse (ALD), Adama Sako (ARG) et Walid Badi (ALG) non prolongés, l'USI s'est mise en quête de les remplacer. En espérant avoir trouvé des profils susceptibles de faire avancer l'équipe. 

Virgile Carrière, (notre photo ci-dessus) tiens, un Français dans le melting-pot qui illustre le recrutement ivryen ! Agé de 24 ans, l'ailier gauche est un pur produit du centre de formation dijonnais, doté d'un physique à toute épreuve. "Atout maître comme nous l'a confié Ulrich Chaduteaud son coach en Bourgogne: Increvable finisseur, il peut être aussi utilisé sur la base arrière car il est grand (1.88) et il saute. Il doit gagner en régularité mais signer en D1 est une évolution logique pour lui."

Vukasin Vorkapic, espoir serbe de 23 ans. Ailier droit dans le groupe qui en janvier dernier a battu puis partagé les points avec l'équipe de France dans le cadre des qualifications à l'Euro 2022. Il termine sa 4ème saison dans le mythique club serbe du RK Metaloplastika d'où jadis sortaient les éléments cadres de l'armada de l'ex Yougoslavie. A 21 ans à peine, il a été sélectionné au Mondial 2019 où il a mis à profit d'énormes qualités physiques. 

Milos Bozovic, Monténégrin de 26 ans, arrière gauche sensé d'apporter un peu plus de densité, un peu plus de puissance. Avant d'arriver dans le Val-de-Marne, il sera passé par plusieurs clubs dont Valladolid, Gorenje, Zagreb et Tatabanya où il évolue encore. 

Wael Al-Shatti. Un Tunisien quasi inconnu dans son pays puisqu'il a fait toute sa carrière dans le Golfe avec notamment un passage au Qatar dans le club d'Al Duhail. Cette saison, cet arrière droit s'est illustré en Arabie Saoudite au Mudhar Club. Un peu exotique... on demande à voir. "On s'est beaucoup renseigné, assure Pascal Léandri. Il a de la percussion, un bon tir de loin. La seule inconnue, c'est sa faculté d'adaptation à notre environnement. Il sera un bon complément avec deux autres gauchers de la base arrière, Ruben Rio et Louis Joseph du centre de formation.

Trois noms viendront étoffer le groupe pro. Tous issus du centre de formation de l'USI. Aymeric Zaepfel donc mais aussi deux gardiens. David Bernard (qui vient d'avoir 21 ans) et Jean Emmanuel Kouassi (22 ans). Ce dernier afin de s'aguerrir et ne pas voir Mate Sunjic, à juste titre absorber une grande partie du temps de jeu, sera prêté. Plusieurs clubs sont intéressés, la négociation est en cours. "Quand il reviendra au club, espère Pascal Léandri, il ne sera plus le même. Il aura acquis un autre volume." 

 

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Résultats de la dernière journée

Jour.  Equ Rec  Equ Vis  Score  Stats  Date 
#10 Montpellier Cesson 30 23 15/11/2024 20:00
#10 Chambéry Tremblay 27 28 14/11/2024 20:00
#10 Ivry Nantes 22 34 15/11/2024 20:30
#10 Istres Toulouse 29 30 15/11/2024 20:00
#10 Aix en Provence Paris 26 28 17/11/2024 17:00
#10 St Raphael Dunkerque 27 29 16/11/2024 20:30
#10 Chartres Nîmes 27 31 15/11/2024 20:00
#10 Limoges Créteil 33 36 15/11/2024 20:00

Prochaine journée

Journée  Equ Rec  Equ Vis  Date 
#11 Créteil Istres 22/11/2024 20:30
#11 Chambéry Paris 24/11/2024 16:00
#11 Toulouse Ivry 22/11/2024 20:30
#11 Dunkerque Montpellier 23/11/2024 20:00
#11 Nîmes St Raphael 22/11/2024 20:00
#11 Cesson Limoges 22/11/2024 20:30
#11 Tremblay Chartres 22/11/2024 20:30
#11 Nantes Aix en Provence 24/11/2024 19:00

Classement

Place Journée  Equipe  MJ  Vic  Nul  Déf 
1 Paris 20 10 10 0 0
2 Nantes 18 10 9 0 1
3 Montpellier 16 10 8 0 2
4 Toulouse 16 10 8 0 2
5 St Raphael 12 10 6 0 4
6 Cesson 9 10 4 1 5
7 Tremblay 9 10 4 1 5
8 Chartres 8 10 4 0 6
9 Istres 8 10 4 0 6
10 Aix en Provence 8 10 4 0 6
11 Chambéry 8 10 4 0 6
12 Dunkerque 8 10 4 0 6
13 Limoges 7 10 3 1 6
14 Nîmes 6 10 3 0 7
15 Créteil 6 10 3 0 7
16 Ivry 1 10 0 1 9