Maladroits, malheureux ? Un peu des deux certainement, Les Dunkerquois vont de suite se mettre dans le dur dans un Bougnol toujours vide et qui attend de pouvoir se réenflammer. Montpellier avec son habituelle 5-1 à variation géométrique profitait des ballons lâchés ou vendangés par l’USDK pou faire ce qu’il sait le mieux faire, jouer sur grands espaces. LE score va vite prendre des allures de possible raclée avant que le duo cubain Taboada – Cuni aidé par un Dylan Garain enfin en réussite, ne stabilise tout cela avec enfin des buts bien amenés par beaucoup de plus de profondeur de la part de la base arrière. Mais cela ne permettait que de stopper l’hémorragie, pas de revenir vraiment dans la course. Et le début de seconde période va définitivement tuer la rencontre. Montpellier toujours aussi clinique dans ses montées de balles, va tuer le match en prenant 7 buts d’avance dès la 36° minutes. La suite se fera en pente douce. Dunkerque va montrer les qualités qui l’ont amené à cette belle série de 3 victoires au point de revenir à 3 buts à la 55°, mais ce ne fut qu’un feu de paille., Montpellier va faire tourner sans pour autant connaître une vraie baisse de régime. Et surtout économiser un Diego Simonet victime d’une petite torsion au genou droit en première période, mais qui semble pour l’instant bégnine.
Le diaporama du match par Patrick Davignon