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Le jour où Ferran Solé a touché les étoiles

LMSL

mercredi 18 novembre 2020 - © Yves Michel

 9 min 7 de lecture

Son humilité n'a d'égal que son talent. Depuis plus de deux ans, Ferran Solé crève l'écran. Avec la sélection espagnole, il a été la surprise de l'Euro 2018 et il a surfé sur la dynamique de la "Roja" pour attirer tous les regards. Ceux des dirigeants du PSG en particulier qui n'ont pas attendu que l'ailier droit remporte un second titre européen en janvier dernier pour lui faire confiance jusqu'en 2023. Il ne lui reste plus qu'à décrocher un trophée en club.

Avec Ferran Solé, il n'y a jamais un mot plus haut qu'un autre mais le souci permanent de trouver la justesse du raisonnement. Cette saison, le joueur est arrivé au PSG sur la pointe des pieds, en provenance de Toulouse mais auréolé en un peu plus de deux ans de deux titres de champion d'Europe avec la sélection espagnole. L'intéressé qui comme des milliers de jeunes est tombé dans la marmite du hand dès qu'il a été en âge de courir et marcher, (en Catalogne du côté de Sant Quirze del Vallés à 30 kilomètres au nord de Barcelone), a gardé une humilité qui impose le respect.  « Ce n'est pas parce que je suis à Paris avec des ambitions plus grandes que mon comportement a changé. J'ai à peu près la même vie, celle d'un sportif qui profite de sa passion. Le rythme est peut-être plus intense avec plus de matches par semaine, c'est tout. Et puis, cela ne sert à rien d'aller contre son tempérament. » Et voilà l'ailier droit dans une autre dimension, avec la pression supplémentaire de faire oublier au public de Coubertin, l'absence d'un véritable orfèvre du poste, Luc Abalo parti sous des cieux norvégiens. « Être dans un grand club, c'est un rêve qui se réalise. Il y a encore quelques années, je n'étais même pas sûr de pouvoir y arriver. Je reconnais que ma progression a été plutôt lente mais finalement l'opportunité s'est présentée et je n'ai pas hésité trop longtemps pour la saisir. » Le Catalan aurait été sans doute comblé que le FC Barcelone, le club référence qui le fait saliver depuis l'adolescence, s'arrête sur son talent naissant.  L'aboutissement après douze années dont cinq chez les pros à Granollers, l'a conduit au-delà des Pyrénées, à Toulouse. « On peut penser qu'à Granollers, je m'étais installé dans un certain confort mais je n'ai pas eu beaucoup d'offres pour partir et qui pouvaient m'apporter autre chose que ce que j'avais. Donc, j'ai su me montrer patient. La possibilité d'aller jouer en France était séduisante. La seule équipe qui aurait pu me faire rester en Espagne, c'était le Barça mais je ne les ai pas intéressés et puis sur le poste, ils avaient les joueurs qu'il fallait. » 2016. L'arrivée en plein été dans cette ville rose à l'accent ibérique et en novembre, une 1ère sélection nationale. 



Jordi Ribera qui vient d'être nommé patron de la "Roja" a plusieurs idées en tête. Bouger les lignes, déranger certaines habitudes et surtout penser au lendemain. En introduisant du sang neuf. Ferran Solé est dans l’œil du stratège. L'aventure est en marche. 2018, Euro en Croatie. Il est préféré à l'icône Victor Tomas. Pari audacieux mais pari calculé et surtout payant. Après 5 années de disette, l'Espagne renoue avec un trophée majeur et l'ailier droit est consacré meilleur sur son poste. « Ribera m'a donné ma chance et m'a permis finalement de relancer ma carrière. Il ne fallait pas que je le déçois et surtout je devais être à la hauteur de sa confiance. » Contrat largement rempli puisque deux ans plus tard alors que le jeune Catalan est désormais régulièrement convoqué aux rassemblements de l'équipe nationale, l'Espagne décroche un nouveau titre européen, cette fois en Suède. « C'est autant individuellement que collectivement, la somme de plusieurs heures de travail. Pour moi, c'est vrai, c'est allé très vite. J'ai progressé à Toulouse au contact du championnat français et parce que le coach (Philippe Gardent) m'a donné des responsabilités. » Durant les quatre saisons en Starligue au Fénix, Ferran inscrira 421 buts dont un tiers sur penalty, spécialité qu'il ne revendique pas particulièrement. « (rires) Ah ! Mais cela ne me dérange pas de tirer le penalty, ce que je n'aime pas, c'est le moment qui précède. Il y a un effort de réflexion à faire, il y a de la tension. En fait, il faut que je sois sûr de le marquer (sourires) Le Paris St Germain s'est mis sur les rangs pour recruter l'ailier ibère plus d'un an avant son arrivée dans la capitale. Sans être déterminante, la présence de Raul Gonzalez aux manettes a été un levier dans sa décision. « C'est un grand entraîneur parmi les meilleurs du monde, il est espagnol, son adjoint (Jota Gonzalez) aussi et quand je suis arrivé, la communication a été naturelle et je me suis senti en confiance. » Un palier supplémentaire dans l'ascension du prodige catalan, avide de nouveauté et surtout de conseils. « J'ai surtout corrigé des détails. En fait, Raul m'a ouvert les yeux par exemple, sur mon positionnement défensif, l'entrée en 2ème pivot ou participer un peu plus au jeu sans ballon. » Le temps passé sur le terrain est défini, l'entente est parfaite avec Benoît Kounkoud, de cinq ans son cadet. Après huit journées (puisque le PSG a disputé toutes ses rencontres de championnat), le bilan est optimal. Huit succès et déjà cinq longueurs d'avance sur Limoges, 2ème formation à être passée entre les mailles du report. 



C'est en revanche en Ligue des Champions que la machine parisienne s'est grippée (trois défaites et un seul succès). « Je ne pense pas qu'il faut chercher beaucoup d'explications. Les trois matches qu'on perd c'est de 1 ou 2 buts. On aurait pu basculer de l'autre côté et là personne n'aurait rien dit. On n'a pas bien géré sans doute les dernières minutes mais comme l'équipe est sérieuse, il ne faut pas tout changer. Il a manqué sur ces défaites un peu plus d'efficacité dans ce qu'on a entrepris. » La cohésion de l'équipe aurait pu être mise à mal depuis la nouvelle blessure de Nikola Karabatic (rupture ligamentaire au genou droit) et sa longue indisponibilité (qui pourrait activer le recrutement d'un joker médical, le Slovène Sebastian Skube, selon un média suédois). «Niko tient une grande place dans le groupe et la stratégie de l'équipe. Il faut qu'on continue à être solidaire et qu'on se prépare à attaquer de grands rendez-vous. » Et si la pandémie veut bien régresser et la vie reprendre un cours à peu près normal, les échéances sont aussi importantes qu'alléchantes. Pour le PSG, d'ici la fin de l'année civile, outre la Starligue, il y aura à capitaliser sur les prochains matches européens (Porto ce mercredi et le 26/11, Kielce le 2/12, Skopje le 9/12, sans oublier que deux ont été reportés) mais aussi penser au Final Four de la précédente édition de la Ligue des Champions (28 et 29 décembre à Cologne) et à une 1ère demi-finale contre.. Barcelone. « C'est notre objectif majeur. Pour moi, c'est une chance de l'envisager et l'opportunité de pouvoir battre le Barça. Mais il ne faut pas se tromper et aller trop vite, nous avons des matches très importants à jouer avant. Remporter ces matches sera une préparation idéale pour le Final Four. En plus, cela nous fera gagner des places au classement de la Ligue des Champions de cette saison. » En 2018, quand Ferran Solé a commencé à toucher les étoiles, il est devenu insatiable. Maillot du PSG ou de la "Roja" sur les épaules. Peu importe. 



Ce mercredi, c'est Ligue des Champions

Avec 3 défaites pour un seul succès au compteur, le PSG n'a quasiment plus le droit à l'erreur s'il veut figurer en bonne place au classement du groupe A de la Ligue des Champions. A une semaine d'intervalle, la double confrontation face à Porto revêt une importance.. capitale. D'autant que les Portugais qui ont certes disputé plus de matches que leur adversaire du jour (6 contre 4) sont dans d'excellentes dispositions avec des performances tout à fait honorables comme un nul à Skopje contre le Vardar (25-25) ou plus récemment le partage des points face à Kielce (32-32) avec un money-time haletant et une rencontre où le demi-centre Miguel Martins (9 buts) et le gardien Alfredo Quintana (14 arrêts) ont été à leur apogée. 

Samedi, retour du championnat

LSL /// Journée 9
Equipe ReceveuseEquipe VisiteuseDatehoraire
DunkerqueLimoges 20/1120h00 
ToulouseCréteil 20/1120h00 
TremblayMontpellier 21/1115h30 
IstresChambéry 21/1117h00 
ParisChartres 21/1117h00 
IvryNîmes 21/1118h00 
St RaphaelNantes reporté
CessonAix en Provence 22/1117h30 

La fin de semaine s'annonçait trop belle. Alors qu'on s'acheminait (enfin!) vers une journée complète, sans report, la Covid a continué de frapper. Lors des derniers tests pratiqués lundi en Loire-Atlantique, deux nouveaux cas positifs ont été décelés dans les rangs nantais, déjà affaiblis. La réception des Slovènes de Celje en LDC prévue ce mercredi à la H Arena a été repoussée à une date ultérieure tout comme le déplacement à Saint Raphaël initialement programmé lui, dimanche. BeIN qui comptait diffuser cette rencontre, s'abstiendra et ne la remplacera pas par une autre.

Le jour où Ferran Solé a touché les étoiles  

LMSL

mercredi 18 novembre 2020 - © Yves Michel

 9 min 7 de lecture

Son humilité n'a d'égal que son talent. Depuis plus de deux ans, Ferran Solé crève l'écran. Avec la sélection espagnole, il a été la surprise de l'Euro 2018 et il a surfé sur la dynamique de la "Roja" pour attirer tous les regards. Ceux des dirigeants du PSG en particulier qui n'ont pas attendu que l'ailier droit remporte un second titre européen en janvier dernier pour lui faire confiance jusqu'en 2023. Il ne lui reste plus qu'à décrocher un trophée en club.

Avec Ferran Solé, il n'y a jamais un mot plus haut qu'un autre mais le souci permanent de trouver la justesse du raisonnement. Cette saison, le joueur est arrivé au PSG sur la pointe des pieds, en provenance de Toulouse mais auréolé en un peu plus de deux ans de deux titres de champion d'Europe avec la sélection espagnole. L'intéressé qui comme des milliers de jeunes est tombé dans la marmite du hand dès qu'il a été en âge de courir et marcher, (en Catalogne du côté de Sant Quirze del Vallés à 30 kilomètres au nord de Barcelone), a gardé une humilité qui impose le respect.  « Ce n'est pas parce que je suis à Paris avec des ambitions plus grandes que mon comportement a changé. J'ai à peu près la même vie, celle d'un sportif qui profite de sa passion. Le rythme est peut-être plus intense avec plus de matches par semaine, c'est tout. Et puis, cela ne sert à rien d'aller contre son tempérament. » Et voilà l'ailier droit dans une autre dimension, avec la pression supplémentaire de faire oublier au public de Coubertin, l'absence d'un véritable orfèvre du poste, Luc Abalo parti sous des cieux norvégiens. « Être dans un grand club, c'est un rêve qui se réalise. Il y a encore quelques années, je n'étais même pas sûr de pouvoir y arriver. Je reconnais que ma progression a été plutôt lente mais finalement l'opportunité s'est présentée et je n'ai pas hésité trop longtemps pour la saisir. » Le Catalan aurait été sans doute comblé que le FC Barcelone, le club référence qui le fait saliver depuis l'adolescence, s'arrête sur son talent naissant.  L'aboutissement après douze années dont cinq chez les pros à Granollers, l'a conduit au-delà des Pyrénées, à Toulouse. « On peut penser qu'à Granollers, je m'étais installé dans un certain confort mais je n'ai pas eu beaucoup d'offres pour partir et qui pouvaient m'apporter autre chose que ce que j'avais. Donc, j'ai su me montrer patient. La possibilité d'aller jouer en France était séduisante. La seule équipe qui aurait pu me faire rester en Espagne, c'était le Barça mais je ne les ai pas intéressés et puis sur le poste, ils avaient les joueurs qu'il fallait. » 2016. L'arrivée en plein été dans cette ville rose à l'accent ibérique et en novembre, une 1ère sélection nationale. 



Jordi Ribera qui vient d'être nommé patron de la "Roja" a plusieurs idées en tête. Bouger les lignes, déranger certaines habitudes et surtout penser au lendemain. En introduisant du sang neuf. Ferran Solé est dans l’œil du stratège. L'aventure est en marche. 2018, Euro en Croatie. Il est préféré à l'icône Victor Tomas. Pari audacieux mais pari calculé et surtout payant. Après 5 années de disette, l'Espagne renoue avec un trophée majeur et l'ailier droit est consacré meilleur sur son poste. « Ribera m'a donné ma chance et m'a permis finalement de relancer ma carrière. Il ne fallait pas que je le déçois et surtout je devais être à la hauteur de sa confiance. » Contrat largement rempli puisque deux ans plus tard alors que le jeune Catalan est désormais régulièrement convoqué aux rassemblements de l'équipe nationale, l'Espagne décroche un nouveau titre européen, cette fois en Suède. « C'est autant individuellement que collectivement, la somme de plusieurs heures de travail. Pour moi, c'est vrai, c'est allé très vite. J'ai progressé à Toulouse au contact du championnat français et parce que le coach (Philippe Gardent) m'a donné des responsabilités. » Durant les quatre saisons en Starligue au Fénix, Ferran inscrira 421 buts dont un tiers sur penalty, spécialité qu'il ne revendique pas particulièrement. « (rires) Ah ! Mais cela ne me dérange pas de tirer le penalty, ce que je n'aime pas, c'est le moment qui précède. Il y a un effort de réflexion à faire, il y a de la tension. En fait, il faut que je sois sûr de le marquer (sourires) Le Paris St Germain s'est mis sur les rangs pour recruter l'ailier ibère plus d'un an avant son arrivée dans la capitale. Sans être déterminante, la présence de Raul Gonzalez aux manettes a été un levier dans sa décision. « C'est un grand entraîneur parmi les meilleurs du monde, il est espagnol, son adjoint (Jota Gonzalez) aussi et quand je suis arrivé, la communication a été naturelle et je me suis senti en confiance. » Un palier supplémentaire dans l'ascension du prodige catalan, avide de nouveauté et surtout de conseils. « J'ai surtout corrigé des détails. En fait, Raul m'a ouvert les yeux par exemple, sur mon positionnement défensif, l'entrée en 2ème pivot ou participer un peu plus au jeu sans ballon. » Le temps passé sur le terrain est défini, l'entente est parfaite avec Benoît Kounkoud, de cinq ans son cadet. Après huit journées (puisque le PSG a disputé toutes ses rencontres de championnat), le bilan est optimal. Huit succès et déjà cinq longueurs d'avance sur Limoges, 2ème formation à être passée entre les mailles du report. 



C'est en revanche en Ligue des Champions que la machine parisienne s'est grippée (trois défaites et un seul succès). « Je ne pense pas qu'il faut chercher beaucoup d'explications. Les trois matches qu'on perd c'est de 1 ou 2 buts. On aurait pu basculer de l'autre côté et là personne n'aurait rien dit. On n'a pas bien géré sans doute les dernières minutes mais comme l'équipe est sérieuse, il ne faut pas tout changer. Il a manqué sur ces défaites un peu plus d'efficacité dans ce qu'on a entrepris. » La cohésion de l'équipe aurait pu être mise à mal depuis la nouvelle blessure de Nikola Karabatic (rupture ligamentaire au genou droit) et sa longue indisponibilité (qui pourrait activer le recrutement d'un joker médical, le Slovène Sebastian Skube, selon un média suédois). «Niko tient une grande place dans le groupe et la stratégie de l'équipe. Il faut qu'on continue à être solidaire et qu'on se prépare à attaquer de grands rendez-vous. » Et si la pandémie veut bien régresser et la vie reprendre un cours à peu près normal, les échéances sont aussi importantes qu'alléchantes. Pour le PSG, d'ici la fin de l'année civile, outre la Starligue, il y aura à capitaliser sur les prochains matches européens (Porto ce mercredi et le 26/11, Kielce le 2/12, Skopje le 9/12, sans oublier que deux ont été reportés) mais aussi penser au Final Four de la précédente édition de la Ligue des Champions (28 et 29 décembre à Cologne) et à une 1ère demi-finale contre.. Barcelone. « C'est notre objectif majeur. Pour moi, c'est une chance de l'envisager et l'opportunité de pouvoir battre le Barça. Mais il ne faut pas se tromper et aller trop vite, nous avons des matches très importants à jouer avant. Remporter ces matches sera une préparation idéale pour le Final Four. En plus, cela nous fera gagner des places au classement de la Ligue des Champions de cette saison. » En 2018, quand Ferran Solé a commencé à toucher les étoiles, il est devenu insatiable. Maillot du PSG ou de la "Roja" sur les épaules. Peu importe. 



Ce mercredi, c'est Ligue des Champions

Avec 3 défaites pour un seul succès au compteur, le PSG n'a quasiment plus le droit à l'erreur s'il veut figurer en bonne place au classement du groupe A de la Ligue des Champions. A une semaine d'intervalle, la double confrontation face à Porto revêt une importance.. capitale. D'autant que les Portugais qui ont certes disputé plus de matches que leur adversaire du jour (6 contre 4) sont dans d'excellentes dispositions avec des performances tout à fait honorables comme un nul à Skopje contre le Vardar (25-25) ou plus récemment le partage des points face à Kielce (32-32) avec un money-time haletant et une rencontre où le demi-centre Miguel Martins (9 buts) et le gardien Alfredo Quintana (14 arrêts) ont été à leur apogée. 

Samedi, retour du championnat

LSL /// Journée 9
Equipe ReceveuseEquipe VisiteuseDatehoraire
DunkerqueLimoges 20/1120h00 
ToulouseCréteil 20/1120h00 
TremblayMontpellier 21/1115h30 
IstresChambéry 21/1117h00 
ParisChartres 21/1117h00 
IvryNîmes 21/1118h00 
St RaphaelNantes reporté
CessonAix en Provence 22/1117h30 

La fin de semaine s'annonçait trop belle. Alors qu'on s'acheminait (enfin!) vers une journée complète, sans report, la Covid a continué de frapper. Lors des derniers tests pratiqués lundi en Loire-Atlantique, deux nouveaux cas positifs ont été décelés dans les rangs nantais, déjà affaiblis. La réception des Slovènes de Celje en LDC prévue ce mercredi à la H Arena a été repoussée à une date ultérieure tout comme le déplacement à Saint Raphaël initialement programmé lui, dimanche. BeIN qui comptait diffuser cette rencontre, s'abstiendra et ne la remplacera pas par une autre.

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Résultats de la dernière journée

Jour.  Equ Rec  Equ Vis  Score  Stats  Date 
#10 Montpellier Cesson 30 23 15/11/2024 20:00
#10 Chambéry Tremblay 27 28 14/11/2024 20:00
#10 Ivry Nantes 22 34 15/11/2024 20:30
#10 Istres Toulouse 29 30 15/11/2024 20:00
#10 Aix en Provence Paris 26 28 17/11/2024 17:00
#10 St Raphael Dunkerque 27 29 16/11/2024 20:30
#10 Chartres Nîmes 27 31 15/11/2024 20:00
#10 Limoges Créteil 33 36 15/11/2024 20:00

Prochaine journée

Journée  Equ Rec  Equ Vis  Date 
#11 Créteil Istres 22/11/2024 20:30
#11 Chambéry Paris 24/11/2024 16:00
#11 Toulouse Ivry 22/11/2024 20:30
#11 Dunkerque Montpellier 23/11/2024 20:00
#11 Nîmes St Raphael 22/11/2024 20:00
#11 Cesson Limoges 22/11/2024 20:30
#11 Tremblay Chartres 22/11/2024 20:30
#11 Nantes Aix en Provence 24/11/2024 19:00

Classement

Place Journée  Equipe  MJ  Vic  Nul  Déf 
1 Paris 20 10 10 0 0
2 Nantes 18 10 9 0 1
3 Montpellier 16 10 8 0 2
4 Toulouse 16 10 8 0 2
5 St Raphael 12 10 6 0 4
6 Cesson 9 10 4 1 5
7 Tremblay 9 10 4 1 5
8 Chartres 8 10 4 0 6
9 Istres 8 10 4 0 6
10 Aix en Provence 8 10 4 0 6
11 Chambéry 8 10 4 0 6
12 Dunkerque 8 10 4 0 6
13 Limoges 7 10 3 1 6
14 Nîmes 6 10 3 0 7
15 Créteil 6 10 3 0 7
16 Ivry 1 10 0 1 9