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LFH : Lorrillard à Besançon, Deville à Fleury

LBE

dimanche 22 novembre 2015 - © Pierre Menjot

 2 min 36 de lecture

Les deux gauchères de l’Union vont garnir d’autres effectifs de LFH jusqu’à la fin de saison. Les autres filles du centre de formation discutent, avec la volonté de poursuivre leur apprentissage du hand sans zapper les études.

Pour les joueuses de l’Union Bègles-Bordeaux Mios-Biganos, la situation n’est pas facile. Un club qui s’arrête en pleine saison comme le leur, c’est même du jamais vu. Pour les joueuses du centre de formation, qui évoluaient en Nationale 1, c’est sans doute pire encore. A plus ou moins 20 ans, les voilà à un moment charnière de leur « carrière ». Pour celles qui ne peuvent pas poursuivre leur cursus ailleurs, il faut choisir : continuer à tenter leur chance au plus haut niveau et partir dans un autre club, ou privilégier les études, quitte à mettre le handball entre parenthèses pour 6 mois. Mais alors que la liquidation du club n’a toujours pas été officialisée (!), la plupart ont bien avancé dans leur réflexion.


Mathilde Lorrillard (19 ans, photo ci-dessus), arrière droite également capable de jouer à l’aile, et Elsa Deville (19 ans également), pure ailière droite, ont trouvé un nouveau point de chute. La première était surveillée par de nombreux clubs de LFH et de D2. Elle a choisi Besançon, où elle s’est engagée pour deux ans et demi au centre de formation, avec l’ambition de continuer à se montrer en première division sur un poste d’arrière où il n’y a pas de pure spécialiste (Alonso Bernardo est ailière, Elorza est droitière). Pour Deville (photo de tête), la vision est à plus long terme. Girondine pur jus, la gauchère va rejoindre Fleury, où elle passera derrière Tounkara et Lopez à son poste. Mais la première pourrait vivre sa dernière saison, comme elle nous l’avait indiqué il y a quelques mois, à moins que l’envie de continuer la démange une fois de plus. Si Tounkara arrête, Fred Bougeant tiendra ainsi sa successeur au poste, internationale chez les jeunes et avec déjà une trentaine de rencontres au compteur en LFH. Les deux Miossaises rejoindront leur nouveau club ces prochains jours.

Les autres filles du centre de formation, elles, continuent à réfléchir. Mérignac, le club voisin qui évolue en D2, ne pourra pas toutes les accueillir, mais une gardienne (Juliette Huynh a priori) est attendue pour compenser la blessure de Stella Joseph-Mathieu. Soukeina Sagna (17 ans, demi-centre), énorme potentiel, pourrait aussi rebondir au MHB. Fiona Derrien (19 ans, pivot), y a déjà signé.

Chez les professionnelles, Nely Carla Alberto a, comme déjà annoncé, rejoint Brest, avec qui elle s’entraîne depuis le milieu de semaine dernière. La demi-centre danoise Mélanie Bak et la gardienne suédoise Sissi Karlsson doivent retourner dans leur Championnat respectif. Audrey Bruneau, elle, se rapproche de Nantes sans y avoir encore signé (plus d’informations à venir…). 

LFH : Lorrillard à Besançon, Deville à Fleury 

LBE

dimanche 22 novembre 2015 - © Pierre Menjot

 2 min 36 de lecture

Les deux gauchères de l’Union vont garnir d’autres effectifs de LFH jusqu’à la fin de saison. Les autres filles du centre de formation discutent, avec la volonté de poursuivre leur apprentissage du hand sans zapper les études.

Pour les joueuses de l’Union Bègles-Bordeaux Mios-Biganos, la situation n’est pas facile. Un club qui s’arrête en pleine saison comme le leur, c’est même du jamais vu. Pour les joueuses du centre de formation, qui évoluaient en Nationale 1, c’est sans doute pire encore. A plus ou moins 20 ans, les voilà à un moment charnière de leur « carrière ». Pour celles qui ne peuvent pas poursuivre leur cursus ailleurs, il faut choisir : continuer à tenter leur chance au plus haut niveau et partir dans un autre club, ou privilégier les études, quitte à mettre le handball entre parenthèses pour 6 mois. Mais alors que la liquidation du club n’a toujours pas été officialisée (!), la plupart ont bien avancé dans leur réflexion.


Mathilde Lorrillard (19 ans, photo ci-dessus), arrière droite également capable de jouer à l’aile, et Elsa Deville (19 ans également), pure ailière droite, ont trouvé un nouveau point de chute. La première était surveillée par de nombreux clubs de LFH et de D2. Elle a choisi Besançon, où elle s’est engagée pour deux ans et demi au centre de formation, avec l’ambition de continuer à se montrer en première division sur un poste d’arrière où il n’y a pas de pure spécialiste (Alonso Bernardo est ailière, Elorza est droitière). Pour Deville (photo de tête), la vision est à plus long terme. Girondine pur jus, la gauchère va rejoindre Fleury, où elle passera derrière Tounkara et Lopez à son poste. Mais la première pourrait vivre sa dernière saison, comme elle nous l’avait indiqué il y a quelques mois, à moins que l’envie de continuer la démange une fois de plus. Si Tounkara arrête, Fred Bougeant tiendra ainsi sa successeur au poste, internationale chez les jeunes et avec déjà une trentaine de rencontres au compteur en LFH. Les deux Miossaises rejoindront leur nouveau club ces prochains jours.

Les autres filles du centre de formation, elles, continuent à réfléchir. Mérignac, le club voisin qui évolue en D2, ne pourra pas toutes les accueillir, mais une gardienne (Juliette Huynh a priori) est attendue pour compenser la blessure de Stella Joseph-Mathieu. Soukeina Sagna (17 ans, demi-centre), énorme potentiel, pourrait aussi rebondir au MHB. Fiona Derrien (19 ans, pivot), y a déjà signé.

Chez les professionnelles, Nely Carla Alberto a, comme déjà annoncé, rejoint Brest, avec qui elle s’entraîne depuis le milieu de semaine dernière. La demi-centre danoise Mélanie Bak et la gardienne suédoise Sissi Karlsson doivent retourner dans leur Championnat respectif. Audrey Bruneau, elle, se rapproche de Nantes sans y avoir encore signé (plus d’informations à venir…). 

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