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Issy lancé à pleine vitesse

Division 2F

dimanche 17 janvier 2010 - © Davy Bodiguel

 7 min 56 de lecture

Dernière démonstration en date, Issy Paris Handball s'est facilement imposé en terre Vesoulienne samedi dernier (26-37). Voilà près de 4 mois que la formation des Hauts de Seine n'a pas connu la moindre défaite : plus exactement douze matchs sans défaite, série en cours. A force de répéter des prestations de qualité, Issy a cette fois-ci pris les rênes de la D2, dépassant au classement son concurrent Francilien Cergy-Pontoise. Reléguée de force et avec pertes et fracas l'été dernier, la formation Parisienne a pris rapidement le rythme de cet exigeant championnat de D2 avec l'objectif final de revenir plus fort en LFH.

Que faire face à une machine Parisienne autrement mieux armée que son équipe ? Cheikh Seck, le coach de Vesoul, s'est certainement posé la question une heure durant dans ce match avancé de la 15ème journée de D2, nettement perdu face à Issy. Relégué à onze buts peu avant la pause (9-20, 25'), la messe était dite pour le CS Vesoul et implacablement, l'IPHB gérait en bon père de famille une seconde période très tranquille.

Armelle Attingré attentive et solide dans ses buts, Issy déployait un jeu séduisant mêlant en permanence rapidité comme en témoigne la réussite conjuguée de Karolina Zalewski et de Coralie Lassource sur leurs ailes respectives, technicité avec la sobriété d'une Krisztina Pigniczki en maître de cérémonie et puissance avec l'imposante stature d'Audrey Bruneau sur la base arrière. Bref, Issy l'emporte tout naturellement dans la cité de Haute-Saône et s'empare au beau milieu de ce week-end de janvier d'un statut honorifique mais ô combien révélateur de leader.

UNE IRRESISTIBLE ASCENSION

Dernier revers en date, un déplacement mal négocié à Noisy le Grand le 26 septembre dernier, soit une éternité... et depuis, plus rien. C'est dire la formidable dynamique qui habite le collectif d'Arnaud Gandais. Tour à tour, ce sont les valeurs sûres de D2 et prétendants à la LFH qui ont du s'avouer vaincu devant l'armada Francilienne. Même Fleury-les-Aubrais, pensionnaire de LFH, a du baisser pavillon en Coupe de France. Issy construit pas à pas son retour en première division, à condition toutefois de remplir au cadre réglementaire de la Ligue, mission délicate déjà bien connue des dirigeants Isséens.

Une intersaison difficile avec une vague impressionnante de départs pour la plupart majeurs : les internationales Sophie Herbrecht (Toulouse), Siraba Dembélé (Toulon), Cléopâtre Darleux et Allison Pineau (Metz), Ines Khouildi et Audrey Deroin (Mios), Noura Ben Slama sans oublier Stella Baudouin (Colombelles) ou encore les espoirs Raphaelle Dos Reis et Amina Bellakdhar (Noisy le Grand). Une hémorragie impressionnante, seul renfort de poids, Armelle Attingré est venu tenter un défi sportif très particulier au sortir d'un été orageux.

Parti dans l'inconnu avec un effectif totalement chamboulé, Issy a frappé fort d'entrée en s'imposant de dix buts à Besançon. Dès lors, Issy était attendu dans bon nombre de salles de D2, y compris chez son voisin Noisy, auteur d'un exploit unique jusqu'à maintenant. Encore en rôdage fin septembre après une victoire étriquée contre Colombelles, Issy n'a pas mis longtemps avant de prendre ses marques. Le sept majeur isséen a appris à jouer ensemble : Octeville en a fait les frais début octobre, les fidèles du club Angélique Spincer et Audrey Sababady ont alors montré le chemin à suivre... Dès lors, les candidats au maintien que sont Plan de Cuques, Bouillargues, Celles sur Belle ou encore La Motte Servolex n'ont pas résisté à la belle dynamique Parisienne. Problème pour tous les adversaires d'Issy, la menace vient de tous les côtés, difficile donc d'endiguer la vague.

Epié au coin du bois Girondin, Issy a obtenu un résultat prometteur à Mérignac fin octobre 2009 (un match nul 35-35 au terme d'un marathon offensif de toute beauté) avant, bien plus tard, de surclasser Bègles chez lui (19-27) dans le match au sommet de la 12ème journée début 2010. Pas de résolution de nouvel an, juste l'élan continu d'une locomotive lancée sur de bons rails. Désormais, c'est sur... on peut parler de plénitude dans le jeu Alto-Séquanais.

JEUNESSE ET EXPERIENCE MELÉES

Au vu du potentiel dorévanant connu de chacune des joueuses, l'effectif Isséen a fière allure : mêlée de joueuses d'expérience et de jeunes en devenir, la sauce prend forme et tout le monde est au diapason. A commencer par le duo de gardiennes : la féline Armelle Attingré sort de deux belles saisons à Fleury-les-Aubrais. La jeune gardienne de 21 ans doit prendre son mal en patience avec cette saison purgatoire en D2 : quelques belles prestations notamment à Besançon ou Bègles sont à signaler. Armelle Attingré forme donc un duo pour le moins complémentaire avec l'ex-Yussoise Sylvie Sarpedon-Bruillot, 35 ans, venu à Issy pour apporter son expérience.

La jeunesse au pouvoir sur le poste de pivot : deux sérieuses clientes au coeur des défenses adverses... deux gabarits différents. L'imposante Florine M'Bang a pris une nouvelle dimension cette saison, prenant désormais un temps de jeu conséquent et une part prépondérante dans le jeu d'attaque. Tout comme Guillemette Cauly, 19 ans, qui s'est imposée elle aussi dans le collectif Parisien. En attendant l'éclosion de la troisième benjamine, Noémie Barthélémy, pivot d'1.85m, internationale Jeune de 17 ans.

Partante pour une seconde saison à Issy mais cette fois-ci en D2, Karolina Zalewski occupe quasiment à elle seule son couloir fétiche, le droit. Actuel meilleur buteur de l'équipe, l'ex-Fleuryssoise dispose d'une grande liberté : efficace aux tirs, rapide en contres, la Française d'origine Polonaise réussit une belle saison de transition avant pourquoi pas de regoûter à la LFH. Un constat quasi-similaire pour l'autre ailière d'expérience, Audrey Sababady qui se relance véritablement sur son aile gauche après une saison passée plutôt compliquée.

De l'expérience avant tout pour exister sur la base arrière : quelques cadres sont restés à l'image de Spincer, Pigniczki et l'arrivée tardive de Pereira. Les nouvelles Bruneau et Zaadi complètent les trois postes d'arrière. Métronome et véritable baromètre de l'équipe, on ne présente plus Krisztina Pigniczki, internationale Hongroise à la longue expérience européenne qui apporte une dimension athlétique et tactique de niveau international.

Angélique Spincer a décidé de rester sur Paris, en espérant que les blessures la laissent enfin tranquille. La demi-centre internationale de 25 ans prend un nouveau départ, avec l'espoir prochain d'un horizon à la fois doré (sous le ciel de LFH) et bleu (sous le maillot de l'équipe de France). Arrivée début novembre, la Brésilienne Audinelia Pereira trouve peu à peu ses marques. Polyvalente, elle apporte une solution supplémentaire sur les trois postes de la base arrière, nécessaire pour compléter un effectif un peu court.

UNE AILE GAUCHE DÉJA PERFORMANTE

A l'aube de cette saison 2009/10, remplacer poste pour poste les droitières Siraba Dembélé et Audrey Deroin n'a pas été chose aisée. L'aile gauche posait question et la réponse fut rapide... précoce même avec l'émergence des internationales jeunes Lassource et Bruneau. Ailière gauche passée par Palaiseau, Coralie Lassource a fait ses gammes en N2 (la réserve terminant première de son championnat l'an passé) avant de prendre avec succès le poste d'ailière en duo avec Audrey Sababady.

La surprise du chef s'appelle... Audrey Bruneau. Agée d'à peine 17 ans, elle a fait forte impression en prenant à bras le corps la  lourde responsabilité du poste d'arrière gauche. Il faut dire que la longiligne internationale Jeune, avec ses 1.88m, ne passe pas inaperçue. Une année de réserve en N2 et la voilà propulsée en équipe fanion : sans complexe, la demoiselle Bruneau fait preuve pour l'heure d'une régularité étonnante et d'un volume offensif impressionnant. Passée par Villemomble, il est évidemment trop tôt pour en faire une digne héritière d'Alisson Pineau mais son premier semestre de compétition est remarquable.

Internationales seniors parties vers d'autres horizons, ce sont donc les jeunes Tricolores (4èmes du dernier Euro) qui reprennent le flambeau Isséen à l'image d'Audrey Bruneau, Coralie Lassource et pourquoi pas demain de joueuses en devenir comme Noémie Barthélémy, Audrey N'Ganmogne, Grâce Zaadi-Deuna ou encore Simone Thiéro.

UN EFFECTIF LIMITÉ

Réduire les coûts pour résorber de manière drastique un gros déficit : l'effectif a de fait sérieusement maigri. Un groupe de 14 joueuses à l'heure où d'autres formations disposent d'un effectif de 16 à 17 joueuses, Issy n'a donc pas le droit à la cascade de blessures et force est de constater que le collectif du 92 a été épargné jusqu'ici... à coup sur, un élément non négligeable pour réussir une brillante saison.

Prochaine échéance, le combat des chefs aura lieu au Palais des Sports Robert Charpentier face à Cergy Pontoise. Un rendez-vous de premier ordre avec la perspective de revoir le handball féminin Parisien au plus haut niveau l'an prochain. Après les deux réceptions de Cergy et Besançon, le calendrier Isséen est plus dégagé, il restera par conséquent à continuer dans le même sens pour connaître une issue heureuse en mai prochain.

Issy lancé à pleine vitesse 

Division 2F

dimanche 17 janvier 2010 - © Davy Bodiguel

 7 min 56 de lecture

Dernière démonstration en date, Issy Paris Handball s'est facilement imposé en terre Vesoulienne samedi dernier (26-37). Voilà près de 4 mois que la formation des Hauts de Seine n'a pas connu la moindre défaite : plus exactement douze matchs sans défaite, série en cours. A force de répéter des prestations de qualité, Issy a cette fois-ci pris les rênes de la D2, dépassant au classement son concurrent Francilien Cergy-Pontoise. Reléguée de force et avec pertes et fracas l'été dernier, la formation Parisienne a pris rapidement le rythme de cet exigeant championnat de D2 avec l'objectif final de revenir plus fort en LFH.

Que faire face à une machine Parisienne autrement mieux armée que son équipe ? Cheikh Seck, le coach de Vesoul, s'est certainement posé la question une heure durant dans ce match avancé de la 15ème journée de D2, nettement perdu face à Issy. Relégué à onze buts peu avant la pause (9-20, 25'), la messe était dite pour le CS Vesoul et implacablement, l'IPHB gérait en bon père de famille une seconde période très tranquille.

Armelle Attingré attentive et solide dans ses buts, Issy déployait un jeu séduisant mêlant en permanence rapidité comme en témoigne la réussite conjuguée de Karolina Zalewski et de Coralie Lassource sur leurs ailes respectives, technicité avec la sobriété d'une Krisztina Pigniczki en maître de cérémonie et puissance avec l'imposante stature d'Audrey Bruneau sur la base arrière. Bref, Issy l'emporte tout naturellement dans la cité de Haute-Saône et s'empare au beau milieu de ce week-end de janvier d'un statut honorifique mais ô combien révélateur de leader.

UNE IRRESISTIBLE ASCENSION

Dernier revers en date, un déplacement mal négocié à Noisy le Grand le 26 septembre dernier, soit une éternité... et depuis, plus rien. C'est dire la formidable dynamique qui habite le collectif d'Arnaud Gandais. Tour à tour, ce sont les valeurs sûres de D2 et prétendants à la LFH qui ont du s'avouer vaincu devant l'armada Francilienne. Même Fleury-les-Aubrais, pensionnaire de LFH, a du baisser pavillon en Coupe de France. Issy construit pas à pas son retour en première division, à condition toutefois de remplir au cadre réglementaire de la Ligue, mission délicate déjà bien connue des dirigeants Isséens.

Une intersaison difficile avec une vague impressionnante de départs pour la plupart majeurs : les internationales Sophie Herbrecht (Toulouse), Siraba Dembélé (Toulon), Cléopâtre Darleux et Allison Pineau (Metz), Ines Khouildi et Audrey Deroin (Mios), Noura Ben Slama sans oublier Stella Baudouin (Colombelles) ou encore les espoirs Raphaelle Dos Reis et Amina Bellakdhar (Noisy le Grand). Une hémorragie impressionnante, seul renfort de poids, Armelle Attingré est venu tenter un défi sportif très particulier au sortir d'un été orageux.

Parti dans l'inconnu avec un effectif totalement chamboulé, Issy a frappé fort d'entrée en s'imposant de dix buts à Besançon. Dès lors, Issy était attendu dans bon nombre de salles de D2, y compris chez son voisin Noisy, auteur d'un exploit unique jusqu'à maintenant. Encore en rôdage fin septembre après une victoire étriquée contre Colombelles, Issy n'a pas mis longtemps avant de prendre ses marques. Le sept majeur isséen a appris à jouer ensemble : Octeville en a fait les frais début octobre, les fidèles du club Angélique Spincer et Audrey Sababady ont alors montré le chemin à suivre... Dès lors, les candidats au maintien que sont Plan de Cuques, Bouillargues, Celles sur Belle ou encore La Motte Servolex n'ont pas résisté à la belle dynamique Parisienne. Problème pour tous les adversaires d'Issy, la menace vient de tous les côtés, difficile donc d'endiguer la vague.

Epié au coin du bois Girondin, Issy a obtenu un résultat prometteur à Mérignac fin octobre 2009 (un match nul 35-35 au terme d'un marathon offensif de toute beauté) avant, bien plus tard, de surclasser Bègles chez lui (19-27) dans le match au sommet de la 12ème journée début 2010. Pas de résolution de nouvel an, juste l'élan continu d'une locomotive lancée sur de bons rails. Désormais, c'est sur... on peut parler de plénitude dans le jeu Alto-Séquanais.

JEUNESSE ET EXPERIENCE MELÉES

Au vu du potentiel dorévanant connu de chacune des joueuses, l'effectif Isséen a fière allure : mêlée de joueuses d'expérience et de jeunes en devenir, la sauce prend forme et tout le monde est au diapason. A commencer par le duo de gardiennes : la féline Armelle Attingré sort de deux belles saisons à Fleury-les-Aubrais. La jeune gardienne de 21 ans doit prendre son mal en patience avec cette saison purgatoire en D2 : quelques belles prestations notamment à Besançon ou Bègles sont à signaler. Armelle Attingré forme donc un duo pour le moins complémentaire avec l'ex-Yussoise Sylvie Sarpedon-Bruillot, 35 ans, venu à Issy pour apporter son expérience.

La jeunesse au pouvoir sur le poste de pivot : deux sérieuses clientes au coeur des défenses adverses... deux gabarits différents. L'imposante Florine M'Bang a pris une nouvelle dimension cette saison, prenant désormais un temps de jeu conséquent et une part prépondérante dans le jeu d'attaque. Tout comme Guillemette Cauly, 19 ans, qui s'est imposée elle aussi dans le collectif Parisien. En attendant l'éclosion de la troisième benjamine, Noémie Barthélémy, pivot d'1.85m, internationale Jeune de 17 ans.

Partante pour une seconde saison à Issy mais cette fois-ci en D2, Karolina Zalewski occupe quasiment à elle seule son couloir fétiche, le droit. Actuel meilleur buteur de l'équipe, l'ex-Fleuryssoise dispose d'une grande liberté : efficace aux tirs, rapide en contres, la Française d'origine Polonaise réussit une belle saison de transition avant pourquoi pas de regoûter à la LFH. Un constat quasi-similaire pour l'autre ailière d'expérience, Audrey Sababady qui se relance véritablement sur son aile gauche après une saison passée plutôt compliquée.

De l'expérience avant tout pour exister sur la base arrière : quelques cadres sont restés à l'image de Spincer, Pigniczki et l'arrivée tardive de Pereira. Les nouvelles Bruneau et Zaadi complètent les trois postes d'arrière. Métronome et véritable baromètre de l'équipe, on ne présente plus Krisztina Pigniczki, internationale Hongroise à la longue expérience européenne qui apporte une dimension athlétique et tactique de niveau international.

Angélique Spincer a décidé de rester sur Paris, en espérant que les blessures la laissent enfin tranquille. La demi-centre internationale de 25 ans prend un nouveau départ, avec l'espoir prochain d'un horizon à la fois doré (sous le ciel de LFH) et bleu (sous le maillot de l'équipe de France). Arrivée début novembre, la Brésilienne Audinelia Pereira trouve peu à peu ses marques. Polyvalente, elle apporte une solution supplémentaire sur les trois postes de la base arrière, nécessaire pour compléter un effectif un peu court.

UNE AILE GAUCHE DÉJA PERFORMANTE

A l'aube de cette saison 2009/10, remplacer poste pour poste les droitières Siraba Dembélé et Audrey Deroin n'a pas été chose aisée. L'aile gauche posait question et la réponse fut rapide... précoce même avec l'émergence des internationales jeunes Lassource et Bruneau. Ailière gauche passée par Palaiseau, Coralie Lassource a fait ses gammes en N2 (la réserve terminant première de son championnat l'an passé) avant de prendre avec succès le poste d'ailière en duo avec Audrey Sababady.

La surprise du chef s'appelle... Audrey Bruneau. Agée d'à peine 17 ans, elle a fait forte impression en prenant à bras le corps la  lourde responsabilité du poste d'arrière gauche. Il faut dire que la longiligne internationale Jeune, avec ses 1.88m, ne passe pas inaperçue. Une année de réserve en N2 et la voilà propulsée en équipe fanion : sans complexe, la demoiselle Bruneau fait preuve pour l'heure d'une régularité étonnante et d'un volume offensif impressionnant. Passée par Villemomble, il est évidemment trop tôt pour en faire une digne héritière d'Alisson Pineau mais son premier semestre de compétition est remarquable.

Internationales seniors parties vers d'autres horizons, ce sont donc les jeunes Tricolores (4èmes du dernier Euro) qui reprennent le flambeau Isséen à l'image d'Audrey Bruneau, Coralie Lassource et pourquoi pas demain de joueuses en devenir comme Noémie Barthélémy, Audrey N'Ganmogne, Grâce Zaadi-Deuna ou encore Simone Thiéro.

UN EFFECTIF LIMITÉ

Réduire les coûts pour résorber de manière drastique un gros déficit : l'effectif a de fait sérieusement maigri. Un groupe de 14 joueuses à l'heure où d'autres formations disposent d'un effectif de 16 à 17 joueuses, Issy n'a donc pas le droit à la cascade de blessures et force est de constater que le collectif du 92 a été épargné jusqu'ici... à coup sur, un élément non négligeable pour réussir une brillante saison.

Prochaine échéance, le combat des chefs aura lieu au Palais des Sports Robert Charpentier face à Cergy Pontoise. Un rendez-vous de premier ordre avec la perspective de revoir le handball féminin Parisien au plus haut niveau l'an prochain. Après les deux réceptions de Cergy et Besançon, le calendrier Isséen est plus dégagé, il restera par conséquent à continuer dans le même sens pour connaître une issue heureuse en mai prochain.

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